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Revue « L’Étrangère »

ISBN 978-2-87317-331-9
112 pages, 14 x 23 cm, cousu
15 €, 2008
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Cette nouvelle livraison de la revue regroupe un ensemble d’auteurs, poètes, prosateurs et essayistes, où la question de la création plastique retient tout autant l’attention que les textes littéraires. Anne Penders (qui est à la fois écrivain, photographe et historienne de l’art) ouvre ce numéro avec un texte intitulé « L’envers », lequel se situe entre prose et poésie, mais où la dimension réflexive occupe une place importante. Le texte que propose Michel Collot est en quelque sorte un retour sur l’œuvre d’André du Bouchet en s’attachant ici de manière plus précise sur le rapport de ce dernier à la peinture, dont l’importance fut décisive dans tout l’œuvre poétique. Les textes retenus de Victor Martinez, Marc Blanchet, Pierre Voélin et Joël-Claude Meffre sont des textes (poésie et prose) de création qui se rattachent tous à un travail en cours, et signalent cette diversité des voix poétiques contemporaines. Jean-Claude Schneider pour sa part nous propose une suite intitulée « et (plus tard) précipitant », consacrée au travail du peintre Gilles du Bouchet, la réflexion chevauchant une démarche proprement poétique. Enfin le numéro se clôt sur un essai de Jacqueline Michel consacré cette fois à la poésie de Silvia Baron Supervielle, en particulier à deux recueils de poésie de cet auteur, aussi connu pour ses traductions de l’espagnol, Lecture du vent et L’Eau étrangère, tous deux parus aux éditions José Corti.

Sommaire : Anne Penders, « L’envers » (extrait) ; Michel Collot, « Peinture » ; Victor Martinez, « Chant de l’étendue » ; Jean-Claude Schneider, « et (plus tard) précipitant » ; Marc Blanchet, « L’éducation des monstres » (extrait) ; Pierre Voélin, « De la forêt humiliée » ; Joël-Claude Meffre, « Visage d’une mémoire » (extrait) ; Jacqueline Michel, « La poésie de Silvia Baron Supervielle ou l’impossible conquête des mots ».