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Emilio Lopez-Menchero
Emilio López-Menchero
Lire le monde, lire les gens
Match
Pascal Bernier, Marie-José Burki, Michel François, Marc Guillaume, Ann Veronica Janssens, Steve Kaspar, Patricia et Marie-France Martin, Emilio Lopez-Menchero, Marc M.C. Octave, Jean-François Octave, Dominique Thirion, Vera Weisgerber
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Nouvelles Lettres sur l’éducation esthétique de l’homme
Politiques de l’image
Schiller ou l’esthétique culturelle
Spectateur et politique
Visions - Architectures publiques volume 5
Chantal Dassonville et Maurizio Cohen (s.l.d.)
Architectes - Atelier d’architecture Matador
Photographe - Rino Noviello
textes français / anglais
ISBN 978-2-87317-305-0
112 pages, 86 ill., 17 x 21,5 cm, cousu
19 €, 2006
Commande : contacter directement le Service des infrastructures du ministère de la Culture
La Maison Folie de Mons, à l’instar du Palais de Tokyo, de l’Espace Lu à Nantes ou encore de la Condition publique à Roubaix, n’a pas le souci de paraître mais seulement celui d’être au plus près de ceux qui l’habitent, comme le dit Yves Vasseur, le directeur du Théâtre du Manège. Invité à redéfinir simplement les zones d’accueil et d’accès de la salle de théâtre des Arbalestriers dans l’esprit des Maisons Folie qui venaient de voir le jour à Lille en 2004, Matador (justement récompensé il y a peu pour ce travail par le Prix d’architecture de la Province de Hainaut) est parvenu à réaffecter l’ensemble du domaine exploitable. Si la salle de théâtre est restée dans son état initial, Matador, pratiquant une architecture de friche, revendique pleinement l’originalité des concepts d’Espace des possibles et de Margin’halle – ces deux lieux formant, avec la cour centrale, la Maison Folie de Mons. Le regard photographique sur ce lieu est celui de Rino Noviello. La plume est celle de la dramaturge Pascale Tison et le clavier, celui du philosophe Christian Ruby, qui rendent compte de cette expérience de restitution de l’espace public à ses acteurs. La critique architecturale en a été confiée à Jean Stillemans. Pierre-Olivier Rollin s’est livré à un entretien avec Marc Mawet et Olivier Bourez, les architectes de Matador, sans oublier l’intervention in situ du plasticien Emilio López-Menchero.