Culotte de Madonna (La)
Deux images et le Désir
Dieu est-il gnangnan ?
Esquisse d’une histoire naturelle du plouc
Fragments d’une philosophie de la parfaite banalité
Intérieurs jour
Petit manuel d’épistémologie des sciences du social
Petites mythologies flamandes
Retour sur Pierre Bourdieu et Hommage à Henri Janne
Saul Alinsky : organiser et armer la communauté
Société au jour le jour (La)
Trente-trois variations sur l’urgence
Jacques De Decker
Avant-propos de Claude Javeau, postface de Gérard Rudent,
coédition Nouveau Théâtre de Belgique
ISBN 2-87317-054-9
ISBN 978-2-87317-054-7
208 pages, 81 ill., 17,5 x 24 cm, cousu, couverture à rabats plastifiée
23,50 €, 1997
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Né en 1946 à Bruxelles, Henri Ronse s’installe à 19 ans à Paris où il collabore en tant qu’écrivain et chroniqueur à diverses publications (Nouvelle Revue Française, Critique, Lettres Françaises, Quinzaine littéraire, Cahiers du Symbolisme). Il produit des émissions radiophoniques à France Culture. Secrétaire de rédaction de L’Arc dont il dirige plusieurs numéros spéciaux (Bataille, Lautréamont, Butor, Joyce, notamment), il fonde, en 1971, avec Roger Borderie, la revue Obliques. En 1971, également, il crée à Paris sa propre compagnie théâtrale : Le Théâtre Oblique qu’il dirigera jusqu’en 1980. Metteur en scène de théâtre et d’opéra, il est invité à la Comédie Française, au Théâtre National de l’Odéon, à l’Opéra de Paris, à la Comédie de Genève, au Capitole de Toulouse… Il est présent par ses créations dans de nombreux festivals internationaux de New York à Madrid, de Florence à Patras, Athènes ou Vérone. De 1980 à 1997, Henri Ronse dirige le Nouveau Théâtre de Belgique à Bruxelles, il y multiplie les créations et les accueils dans une perspective pluridisciplinaire orientée principalement sur le répertoire contemporain. Parmi les études qui lui ont été consacrées, on retiendra deux ouvrages : Mettre en scène au présent de Raymonde Temkine et Henri Ronse ; La Vie oblique de René Zahnd.
Jacques De Decker a rendu compte, de 1979 à 1996, dans les colonnes du quotidien bruxellois Le Soir, de l’activité théâtrale, tandis qu’il poursuivait son œuvre de romancier (La Grande Roue, Parades amoureuses, Le Ventre de la baleine), d’auteur dramatique (Petit Matin, Grand Soir, Tranches de dimanche, Le Magnolia) et d’essayiste (Les Années critiques, En lisant, en écoutant).